Sur la révélation par Dieu de Son œuvre à l’ère de la Grâce
28. Jésus représente toute l’œuvre de l’ère de la Grâce. Il S’est incarné dans la chair, a été cloué sur la croix et Il a aussi initié l’ère de la Grâce. Il a été crucifié pour accomplir l’œuvre de rédemption, mettre fin à l’ère de la Loi et initier l’ère de la Grâce. Il a ainsi été appelé le « Chef suprême », le « Sacrifice d’expiation » et le « Rédempteur ». Par conséquent, l’œuvre de Jésus avait un contenu différent de l’œuvre de l’Éternel, même si leur principe était identique. L’Éternel a initié l’ère de la Loi, en établissant le fondement – le point d’origine – pour l’œuvre de Dieu sur terre, et en édictant les lois et les commandements. Ce sont les deux composantes de l’œuvre qu’Il a réalisées et elles représentent l’ère de la Loi. L’œuvre que Jésus a réalisée à l’ère de la Grâce n’avait pas pour objectif d’édicter des lois, mais de les accomplir, introduisant ainsi l’ère de la Grâce et mettant un terme à l’ère de la Loi qui avait duré deux mille ans. Il fut le pionnier, qui est venu pour initier l’ère de la Grâce, même si la majeure partie de Son œuvre reposait sur la rédemption. Et ainsi, Son œuvre était également double : l’inauguration d’une nouvelle ère et l’accomplissement de l’œuvre de rédemption par Sa crucifixion, à la suite de quoi Il est parti. Désormais, l’ère de la Loi était finie et l’ère de la Grâce commençait.
Extrait de « La véritable histoire de l’œuvre de l’ère de la Rédemption », dans La Parole apparaît dans la chair
29. Durant l’ère de la Grâce, Jésus a été le Dieu qui a sauvé l’homme. La grâce, l’amour, la compassion, la persévérance, la patience, l’humilité, la prévenance et la tolérance étaient les composantes de ce qu’Il avait et de ce qu’Il était, et beaucoup de l’œuvre qu’il a faite était pour la rédemption de l’homme. Son tempérament était compassion et amour, et parce qu’Il était compatissant et aimant, Il a dû être cloué sur la croix pour l’homme afin de montrer que Dieu aimait l’homme comme Lui-même, à tel point qu’Il S’est sacrifié Lui-même totalement. Au cours de l’ère de la Grâce, le nom de Dieu était Jésus, ce qui signifie que Dieu était un Dieu qui sauve l’homme et qu’Il était un Dieu compatissant et aimant. Dieu était avec l’homme. Son amour, Sa compassion et Son salut accompagnaient chaque personne. Ce n’est qu’en acceptant le nom et la présence de Jésus que l’homme a été capable de gagner la paix et la joie, de recevoir Sa bénédiction, Ses grandes et nombreuses grâces, et Son salut. Par la crucifixion de Jésus, tous ceux qui le suivaient reçurent le salut et furent pardonnés de leurs péchés. Durant l’ère de la Grâce, Jésus était le nom de Dieu. En d’autres termes, l’œuvre de l’ère de la Grâce a été faite principalement sous le nom de Jésus. Durant l’ère de la Grâce, Dieu était appelé Jésus. Il a entrepris une nouvelle œuvre au-delà de l’Ancien Testament, et Son œuvre a pris fin avec la crucifixion. Cela a été la totalité de Son œuvre.
Extrait de « La vision de l’œuvre de Dieu (3) », dans La Parole apparaît dans la chair
30. L’œuvre que Jésus a réalisée était conforme aux besoins de l’homme à cette ère. Sa tâche était de racheter l’humanité, de lui pardonner ses péchés, et ainsi, tout Son tempérament était humilité, patience, amour, piété, tolérance, miséricorde et bienveillance. Il a apporté grâce et bénédictions en abondance à l’humanité, et toutes les choses dont les hommes pouvaient effectivement jouir ; Il les leur donna pour leur plaisir : paix et bonheur, Sa tolérance et Son amour, Sa miséricorde et Sa bienveillance. À cette époque-là, le nombre important de plaisirs auxquels les hommes étaient confrontés – le sentiment de paix et de sécurité intérieures, l’impression d’apaisement dans leur esprit et leur dépendance à l’égard de Jésus le Sauveur – ont peuplé toute l’ère dans laquelle ils vivaient. À l’ère de la Grâce, l’homme avait déjà été corrompu par Satan. Ainsi, afin de pouvoir produire un effet, réussir l’œuvre de rédemption de toute l’humanité exigeait de la grâce en abondance, une tolérance et une patience infinies, et plus encore, une offrande appropriée pour expier les péchés de l’humanité. Ce que l’humanité a vu à l’ère de la Grâce était simplement Mon offrande pour l’expiation des péchés de l’humanité : Jésus. Tout ce que les hommes savaient, c’était que Dieu pouvait être miséricordieux et tolérant, et tout ce qu’ils voyaient était la miséricorde et la bienveillance de Jésus. Tout cela était ainsi parce qu’ils étaient nés à l’ère de la Grâce. Et par conséquent, avant de pouvoir être rachetés, ils devaient jouir de la diversité des grâces accordées par Jésus afin d’en tirer profit. De cette façon, leurs péchés pouvaient leur être pardonnés par la jouissance de la grâce et ils pouvaient aussi avoir la chance d’être rachetés en jouissant de la tolérance et de la patience de Jésus. Ce n’est que par la tolérance et la patience de Jésus qu’ils ont acquis le droit de recevoir le pardon et de jouir de la grâce abondante accordée par Jésus. Tout comme Jésus l’a dit : Je suis venu racheter non pas les justes, mais les pécheurs, afin de permettre aux pécheurs d’avoir leurs péchés pardonnés. Si, en prenant chair, Jésus avait apporté un tempérament de jugement, de malédiction et d’intolérance envers les offenses de l’homme, alors l’homme n’aurait jamais eu la chance d’être racheté et serait resté pécheur à jamais. Si cela avait été ainsi, le plan de gestion de six mille ans aurait pris fin à l’ère de la Loi, et l’ère de la Loi aurait été prolongée de six mille ans. Les péchés de l’homme se seraient multipliés et aggravés, et la création de l’humanité n’aurait servi à rien. Les hommes auraient seulement été capables de servir l’Éternel conformément à la loi, mais leurs péchés auraient dépassé ceux des premiers humains créés. Plus Jésus aimait les hommes, leur pardonnant leurs péchés et leur apportant suffisamment de miséricorde et de bienveillance, plus les hommes pouvaient être sauvés par Jésus, être appelés les brebis égarées que Jésus avait ramenées avec grand effort. Satan ne pouvait s’immiscer dans cette œuvre, car Jésus S’occupait de Ses disciples comme une mère aimante s’occupe de l’enfant contre son sein. Il n’est pas devenu furieux ni dédaigneux envers eux, mais Se montrait totalement rassurant ; Il ne S’est jamais emporté au milieu d’eux, mais a supporté leurs péchés et ignoré leur folie et leur ignorance, au point de dire : « Pardonnez aux autres jusqu’à soixante-dix fois sept fois ». Ainsi, les hommes eurent le cœur transformé par Son cœur, et ce n’est qu’ainsi qu’ils obtinrent le pardon de leurs péchés par Sa tolérance.
Extrait de « La véritable histoire de l’œuvre de l’ère de la Rédemption », dans La Parole apparaît dans la chair
31. Même si Jésus, dans Son incarnation, était entièrement dépourvu d’émotion, Il a toujours réconforté Ses disciples, pourvoyant à leurs besoins, les aidant et les soutenant. En dépit de l’importance de Son œuvre ou de l’importance de la souffrance qu’Il a endurée, Il n’a jamais eu d’exigences démesurées envers les hommes, mais a toujours été patient et tolérant vis-à-vis de leurs péchés, à tel point que les hommes de l’ère de la Grâce L’appelaient affectueusement « le Sauveur Jésus digne d’amour ». Pour les gens de cette époque – pour tous les gens – ce que Jésus avait et était, c’était miséricorde et bienveillance. Il ne retenait jamais les transgressions des hommes, et Son traitement à leur égard n’était jamais fondé sur leurs transgressions. Comme il s’agissait d’une ère différente, Il donnait souvent une nourriture abondante aux hommes afin qu’ils puissent manger à leur faim. Il traitait tous Ses disciples avec grâce, guérissant les malades, chassant les démons, ressuscitant les morts. Afin que les hommes puissent croire en Lui et voir que tout ce qu’Il faisait, Il le faisait avec ferveur et sincérité, Il a été jusqu’à ressusciter un corps en décomposition, leur montrant, qu’entre Ses mains, même les morts pouvaient revenir à la vie. C’est ainsi qu’Il a enduré en silence et a réalisé Son œuvre de rédemption parmi les hommes. Même avant qu’Il ne fût cloué sur la croix, Jésus avait déjà pris sur Lui les péchés de l’humanité et était déjà devenu un sacrifice d’expiation pour l’humanité. Même avant d’être crucifié, Il avait ouvert la voie vers la croix afin de racheter l’humanité. Finalement, Il a été cloué sur la croix, Se sacrifiant pour la croix, et Il a accordé à l’humanité toute Sa miséricorde, Sa bienveillance et Sa sainteté. Il a toujours été tolérant envers l’humanité, et jamais vengeur, pardonnant aux hommes leurs péchés, les exhortant à se repentir, leur apprenant à avoir de la patience, de la tolérance et de l’amour, les exhortant à suivre Ses pas et à se sacrifier pour la croix. Son amour pour les frères et sœurs dépassait Son amour pour Marie. L’œuvre qu’Il réalisait prenait pour principe de soigner les malades et de chasser les démons, tout cela en faveur de Sa rédemption. Peu importe où Il allait, Il traitait tous ceux qui Le suivaient avec grâce. Il rendait riches les pauvres, faisait marcher les paralysés, voir les aveugles et entendre les sourds. Il a même invité les plus faibles, les pauvres, les pécheurs, à venir s’asseoir à Sa table, sans jamais les mépriser, mais en étant toujours patient, disant même : quand un berger égare l’une de ses cent brebis, il laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres brebis pour rechercher la brebis égarée, et lorsqu’il la trouvera, il s’en réjouira grandement. Il a aimé Ses disciples comme une brebis aime ses agneaux. Même si ces hommes étaient insensés et ignorants, et étaient pécheurs à Ses yeux, et de plus, étaient les membres les plus humbles de la société, Il considérait ces pécheurs – des hommes que d’autres méprisaient – comme la prunelle de Ses yeux. Puisqu’Il les préférait, Il a donné Sa vie pour eux, comme une brebis qui serait sacrifiée sur l’autel. Il Se tenait parmi eux comme s’Il était leur serviteur, les laissant L’utiliser et Le mettre à mort, Se soumettant à eux inconditionnellement. Pour Ses disciples, Il était le Sauveur Jésus digne d’amour, mais pour les pharisiens qui sermonnaient les gens du haut de leur piédestal, Il ne manifestait aucune miséricorde ni bienveillance, mais de la haine et du ressentiment. Il n’a pas beaucoup œuvré parmi les pharisiens, ne les sermonnant ou réprimandant qu’occasionnellement. Il ne S’est pas tenu parmi eux pour réaliser l’œuvre de rédemption et Il n’a pas non plus accompli de signes ni de miracles. Il a accordé toute Sa miséricorde et Sa bienveillance à Ses disciples, endurant et subissant jusqu’au bout toutes les humiliations pour ces pécheurs lorsqu’Il fut cloué sur la croix, jusqu’à ce qu’Il eût racheté entièrement toute l’humanité. Telle était Son œuvre dans sa totalité.
Extrait de « La véritable histoire de l’œuvre de l’ère de la Rédemption », dans La Parole apparaît dans la chair
32. Sans la rédemption de Jésus, les hommes auraient vécu à jamais dans le péché et seraient devenus à jamais les rejetons du péché, les descendants des démons. Continuant ainsi, le monde entier serait devenu le territoire de Satan, son lieu de résidence. Cependant, l’œuvre de rédemption exigeait de la miséricorde et de la bienveillance à l’égard de l’humanité. Ce n’est que grâce à cela que l’humanité a pu recevoir le pardon et acquérir finalement le droit d’être rendue complète et entièrement gagnée par Dieu. Sans cette étape de l’œuvre, le plan de gestion de six mille ans n’aurait pu progresser. Si Jésus n’avait pas été crucifié, s’Il n’avait fait que guérir les malades et exorciser les démons, alors les hommes n’auraient pas pu être complètement pardonnés de leurs péchés. Au cours des trois années et demie que Jésus a passées sur terre à réaliser Son œuvre, Il n’a accompli que la moitié de Son œuvre de rédemption. Ensuite, en étant cloué sur la croix et en prenant l’apparence de la chair pécheresse, en étant livré au mal, Il a accompli l’œuvre de crucifixion et maîtrisé le destin de l’humanité. Ce n’est qu’après avoir été livré aux mains de Satan qu’Il a racheté l’humanité. Pendant trente-trois ans et demi, Il a souffert sur la terre, été ridiculisé, calomnié et abandonné, au point même qu’Il n’avait nulle part où poser Sa tête, nulle part où Se reposer, et Il a ensuite été crucifié, Son être tout entier – un corps saint et innocent – cloué à la croix. Il a enduré toutes sortes de souffrances possibles. Les dirigeants se sont moqués de Lui et L’ont fouetté, et les soldats Lui ont même craché au visage. Pourtant, Il a gardé le silence et a enduré jusqu’au bout, Se soumettant inconditionnellement jusqu’à la mort, à la suite de quoi, Il a racheté toute l’humanité. Ce n’est qu’alors qu’Il a pu trouver le repos. L’œuvre que Jésus a réalisée ne représente que l’ère de la Grâce ; elle ne représente pas l’ère de la Loi, ni n’est-elle un substitut de l’œuvre des derniers jours. C’est l’essence de l’œuvre de Jésus à l’ère de la Grâce, la deuxième ère que l’humanité a traversée : l’ère de la Rédemption.
Extrait de « La véritable histoire de l’œuvre de l’ère de la Rédemption », dans La Parole apparaît dans la chair