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Persécution religieuse : Alors qu'il est persécuté par le PCC, les paroles de Dieu le conduisent vers (I)

Note de l’éditeur:

Zhang Zhi, un chrétien, a été arrêté et sauvagement torturé par la police du PCC pour sa foi en Dieu et pour avoir prêché l’évangile. Après sa libération, il ne peut plus vivre dans cette prison à ciel ouvert dans laquelle il se trouve et s’enfuit. Plusieurs années plus tard, le PCC resserre toujours son étau : les membres de sa famille sont arrêtés et une récompense de 50 000 yuans est offerte pour sa capture. Mais, guidé par les paroles de Dieu, il parvient à surmonter tous ces jours et nuits difficiles. Voici comment Zhang Zhi compte sur Dieu et témoigne alors que le PCC se rapproche dangereusement de lui.

L’amour de Dieu l’aide à supporter les tortures

Le 12 décembre 2012 vers 21h00, Zhang Zhi a été dénoncé par le chef du village pour avoir partagé l’évangile. La nouvelle est rapidement parvenue aux oreilles de la police qui l’a arrêté et l’a conduit au poste de police du comté.

Persécution religieuse : Alors qu'il est persécuté par le PCC, les paroles de Dieu le conduisent vers (I)

Image à titre indicatif seulement

Alors que Zhang Zhi était menotté sur le banc du tigre, un policier a hurlé : « Quand avez-vous commencé à croire en Dieu ? Où avez-vous obtenu ces articles religieux ? Quel est votre rôle dans l’église ? Savez-vous où l’argent de l’église est caché ? Parlez ! »

Face à l’interrogatoire de la police, Zhang Zhi s’est empressé d’appeler Dieu en silence, demandant la protection de Dieu pour qu’il ne tombe pas dans les pièges de Satan, pour qu’il ne soit pas un Judas et ne trahisse pas Dieu. Après avoir prié, il a dit calmement : « Je lis seulement les paroles de Dieu et je recherche la vérité. Je n’ai aucun rapport avec l’argent. »

Le policier a dit d’un ton vicieux : « Vous vous pincez les lèvres. Je vous préviens, vous feriez mieux de me dire ce que vous savez tant qu’il est encore temps, sinon, je m’occuperai de vous ! »

Plus de deux heures d’interrogatoire n’ont donné aucun résultat, le policier était furieux. Il a emmené Zhang Zhi dans une pièce sans aucune caméra de surveillance et a commencé à lui donner des gifles à la chaîne, alternant entre la joue gauche et la joue droite. Après l’avoir giflé une douzaine de fois ou plus, Zhang Zhi a commencé à voir des étoiles et son visage brûlait de douleur. En criant, le policier a pris une large ceinture de cuir et a commencé à le fouetter au visage. Zhang Zhi s’est mis à hurler de douleur. Le policier a immobilisé ses deux bras et a attaché une ceinture de cuir autour de sa bouche afin qu’il ne puisse faire aucun bruit. Pendant un moment, Zhang Zhi a eu l’impression de suffoquer et son visage a rapidement enflé. Il a commencé à entendre des sifflements dans ses oreilles et sa vision est devenue floue. Deux cruels policiers lui ont menotté les mains afin qu’il ne puisse pas se débattre. C’est à ce moment-là que Zhang Zhi a enfin vu le vrai visage de « la police du peuple » : ils ne sont en fait qu’une meute de démons enragés.

Alors que Zhang Zhi perdait peu à peu conscience, il est parvenu à entendre un policier lui crier : « Alors, ça veut dire quoi ça ? Vous allez parler ou pas ? J’ai l’impression que nous allons devoir être plus sévères ! » En disant cela, il a pris une couverture et a enveloppé Zhang Zhi avec celle-ci, puis l’a roué de coups avec une barre de fer. Il souffrait et était terrorisé et tout ce qu’il pouvait faire était d’appeler encore et encore Dieu dans son cœur : « Mon Dieu, je T’en supplie, sauve-moi ! » Après avoir prié, sa douleur a soudainement diminué, il avait compris que c’était la façon dont Dieu l’aidait à faire face à la faiblesse de la chair. Au bout d’un moment, ils lui ont enlevé la couverture et ont arrêté de le battre. Ils étaient à bout de souffle à cause de leurs efforts. Zhang Zhi était extrêmement reconnaissant de Dieu et L’a remercié de l’avoir protégé pendant cette épreuve.

Puis un policier a demandé, totalement exaspéré : « Vous allez parler ou pas ? Qui est votre chef ? Qui vous a poussé à faire du prosélytisme ? Si vous ne nous dites pas tout, nous vous condamnerons et vous serez envoyé en prison. » Mais Zhang Zhi n’a pas dit un mot. Un policier au visage déformé par la colère a crié : « J’ai vraiment l’impression que nous n’avons pas été assez durs ! Préparez-le pour le “Erlang (le nom d’un homme) porte une montagne”. » Deux policiers ont tordu l’un des bras de Zhang Zhi et l’ont tiré brusquement tandis que deux autres ont mis son autre bras par-dessus son épaule et l’ont tordu derrière son dos. Ils ont ensuite déplié son bras, ont forcé Zhang Zhi à joindre les bras et l’ont menotté. À ce moment-là, Zhang Zhi a eu l’impression d’avoir les deux bras cassés. Il a crié très fort, souffrant tellement qu’il n’arrivait presque plus à respirer. Peu après, il a perdu la sensation dans les deux mains. Ils lui ont ensuite ordonné de rester accroupi. La douleur qui s’était propagée dans tout le corps de Zhang Zhi le donnait des sueurs froides et il entendait des bourdonnements dans ses oreilles. Il perdait peu à peu conscience et avait vraiment l’impression d’être sur le point de mourir.

Zhang Zhi ne supportait vraiment pas une torture tellement si inhumaine. Il avait extrêmement peur de ne pas arriver à se contrôler à cause de la faiblesse de la chair, et craignait de divulguer des informations sur l’église. Il s’est tourné vers Dieu : « Mon Dieu ! Je ne peux vraiment plus supporter ça. J’ai très peur que ces horribles policiers me torturent au point de renoncer et de Te trahir. Mon Dieu, je T’en supplie, détruis cet endroit pour que cette meute de démons et moi-même partions de ce monde ! » À ce moment, il pensa à ces paroles de Dieu : « La souffrance de certaines personnes atteint un certain degré, et leurs pensées tournent à la mort. Ce n’est pas le véritable amour pour Dieu ; ces gens sont des lâches, ils ne sont pas persévérants, ils sont faibles et impuissants ! » Les paroles de Dieu ont soudainement éclairci les idées de Zhi Zhang et il a réalisé que sa prière n’était pas conforme à la volonté de Dieu. Tourmenté par la douleur et des épreuves, il devait se raccrocher à Dieu pour s’appuyer sur Lui et être un témoin capable de vaincre Satan. S’il mourait maintenant à cause de sa faiblesse charnelle, non seulement il ne pourrait pas témoigner, mais Satan rirait le dernier, et ce serait une marque de honte pour Dieu. Grâce aux paroles de Dieu, Zhang Zhi a pris la décision de compter sur Dieu pour vaincre la douleur de la chair et rendre témoignage. Il a prié encore et encore, demandant l’aide de Dieu. Moins de 20 minutes plus tard, la police a défait ses menottes, voyant qu’il allait rendre son dernier souffle.

La police a fini par comprendre que Zhang Zhi préfèrerait mourir que de divulguer quelque information que ce soit, et ils ont donc suspendu leur interrogatoire et l’ont fait placer dans un centre de détention. Une fois sur place, les policiers ont confisqué son manteau chaud rembourré et lui ont donné un uniforme de prisonnier en tissu fin. Ils ont également demandé aux autres prisonniers de le prendre comme bouc émissaire. Les prisonniers lui ont pris ses chaussures et sa couverture et l’ont forcé à mémoriser toutes les règles de la prison. S’il en oubliait, ils lui assenaient des coups de poing dans les oreilles. Zhang Zhi est tombé très malade à cause du froid et de la torture physique. Il était au lit, et avait une fièvre si élevée qu’il était à moitié conscient, mais les autres prisonniers continuaient de le torturer, le frappant à la tête et l’empêchant de dormir. Pendant la journée, ils l’obligeaient à nettoyer le sol avec de l’eau glacée, puis cherchaient chaque petit problème pour lui dire qu’il n’avait pas fait du bon travail. Ils le frappaient alors violemment et chaque fois qu’il était battu, il frôlait la mort. Dans ce centre de détention inhumain, dépourvu de justice, Zhang Zhi subissait la douleur, la tristesse, la dépression. Il ne savait pas quand ce cauchemar prendrait fin.

La nuit, il se cachait sous sa couverture pour prier Dieu en silence : « Mon Dieu, je suis tellement faible dans ce genre d’environnement et je ne sais pas comment avancer. Mon Dieu, aide-moi à comprendre Ta volonté. » Alors qu’il priait, un cantique des paroles de Dieu lui revint à l’esprit : « Dieu admire les lys qui fleurissent dans les collines. Les fleurs et l’herbe s’étendent sur les pentes, mais les lys ajoutent un lustre à Sa gloire sur terre avant l’arrivée du printemps. L’homme peut-il en faire autant ? Pourrait-il témoigner pour Dieu sur terre avant Son retour ? Pourrait-il se consacrer pour Son nom dans le pays du grand dragon rouge ? » Fredonner ce cantique a réconforté son cœur. Il est vrai que les lys, les fleurs et l’herbe sont capables de supporter les températures extrêmes de l’hiver et d’attendre l’arrivée du printemps pour se consacrer à la gloire de Dieu sur terre. Mais s’est dit qu’il était un croyant qui suivait Dieu. Il avait lu tellement de paroles de Dieu et avait compris certaines vérités, il ne devait donc pas plier sous la cruelle persécution du PCC, le grand dragon rouge. Même si cela signifiait qu’il devait mourir, il devait témoigner et se consacrer à la gloire de Dieu. Il a remercié Dieu d’avoir utilisé Ses paroles pour l’aider et le guider quand il était faible. Peu à peu, Zhang Zhi avait moins peur et sa douleur s’atténuait. Il s’est immergé dans le fait d’être porté par l’amour de Dieu.

Quelques semaines plus tard, alors que leurs interrogatoires n’avaient toujours rien donné, la police a forcé la famille de Zhang Zhi à verser 8 000 yuans de caution pour le libérer, et ils l’ont laissé partir. Ils lui avaient également interdit d’avoir quoi que ce soit à faire avec des croyants, et s’ils découvraient qu’il pratiquait encore sa foi, il serait arrêté et condamné. Il devait également promettre qu’il serait disponible chaque fois qu’ils l’appelleraient.

À suivre…

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