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J'ai ressenti les merveilles de Dieu pendant une période de maladie

Ma mère a trouvé la foi en Dieu quand j’étais petite. Elle m’a souvent dit : « Dieu a le pouvoir et l’autorité, alors peu importe les épreuves que tu passeras, tant que tu L’appelleras sincèrement, Il se souciera de toi et te protégera. » J’ai acquiescé en ne comprenant qu’à moitié. Cependant, influencée par mon père, qui est diplômé d’une bonne université, j’ai poursuivi des études poussées pour entrer dans une bonne université, puis pour avoir un bon travail et me construire un avenir prometteur. Ainsi, je n’ai pas pris ma croyance en Dieu au sérieux. C’est seulement lorsque j’ai observé les merveilles de Dieu que j’ai décidé de Le suivre, ayant ressenti Sa toute-puissance et Son amour pour moi à travers une expérience particulière.

J’ai ressenti les merveilles de Dieu pendant une période de maladie

C’était l’hiver de mes 20 ans, et j’étais en congés. Comme je travaillais habituellement, que je n’avais pas le temps de me divertir ou de me balader, je passais toutes mes vacances à regarder la télévision, à jouer à des jeux vidéo à la maison et à faire les magasins avec mes amies. Pendant cette période, ma mère me lisait souvent les paroles de Dieu et me conseillait de les lire davantage au lieu de passer tout mon temps avec des amis. Mais je ne pensais qu’à me divertir, alors je ne faisais rien de plus que d’acquiescer à ses conseils. Je ne lisais jamais les paroles de Dieu.

Une nuit, je suis partie me coucher après avoir joué à des jeux vidéo. Avant de dormir, j’ai entendu un bourdonnement, comme s’il y avait des insectes autour de moi. Au début, je n’y ai pas porté attention et j’ai continué à dormir en me couvrant les oreilles avec mes mains. Mais l’acouphène devenait plus puissant. J’étais désorientée et nauséeuse. À ce moment-là, je me suis immédiatement levée et j’ai appelé ma mère. J’ai réveillé mes parents avec mon cri. Effrayés, ils s’inquiétaient beaucoup de mon état physique parce que j’avais subi deux opérations chirurgicales pour un kyste au cerveau quand j’étais jeune. En tant que médecin, mon père savait que si la tumeur récidivait, cela pouvait être très dangereux. Alors il s’inquiétait énormément pour moi. Ma mère priait Dieu et me disait de ne pas avoir peur parce que Dieu était à côté de nous et que nous devions compter sur Lui.

Mon père m’a demandé de me lever et de marcher. Il a fait quelques tours de cour avec moi et m’a demandé de boire beaucoup d’eau, mais cela n’a pas fait passer les bourdonnements. J’avais extrêmement mal à la tête, et j’avais l’impression qu’elle allait éclater. Ça faisait si mal que je me suis mise à pleurer. À ce moment-là, j’ai vraiment réalisé que, lorsque la maladie se présentait, les médecins comme mon père étaient impuissants, ainsi que les connaissances que j’avais acquises. J’étais tellement petite et faible avant la maladie. En me voyant en souffrance à cause de cette douleur insupportable, mon père était inquiet mais incapable de faire quoi que ce soit. Il m’a rapidement conduit à l’hôpital. J’y ai passé un scanner cérébral à mon arrivée à l’hôpital. Le médecin observa les résultats de l’analyse pendant un moment et dit : « Je n’arrive pas à voir s’il y a quelque chose qui ne va pas. » Puis mon père m’a vite emmené dans un hôpital local plus grand.

En allant à l’hôpital, j’avais tellement mal à la tête que je voulais même me cogner la tête contre un mur pour arrêter la douleur. Je n’avais d’autre choix que d’appeler silencieusement Dieu pour m’aider. A ce moment-là, j’ai pensé aux paroles de Dieu que ma mère m’a lues une fois, « Le destin de l’homme est entre les mains de Dieu. Tu es incapable de te contrôler : quoiqu’il soit toujours en train de courir et de s’occuper pour lui-même, l’homme reste incapable de se contrôler. Si tu pouvais connaître tes propres perspectives, si tu pouvais contrôler ton propre destin, serais-tu toujours un être créé ? » (« Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination »). J’ai réfléchis à ces paroles. À ma grande surprise, je me suis sentie d’un coup beaucoup mieux, ma tête commençait à me faire moins mal. Quel miracle ! C’est alors que je me suis souvenue que ma mère me demandait toujours de lire les paroles de Dieu et d’assister activement à la vie de l’Église, mais je ne recherchais que la connaissance par laquelle je pensais pouvoir changer mon destin. Je lis rarement les paroles de Dieu et j’assiste à contrecœur aux réunions de l’Église auxquelles ma mère m’invite. Face à la maladie, j’ai réalisé que mes connaissances étaient simplement inutiles. Elles ne pouvaient pas calmer mon mal de crâne, et encore moins contrôler mon destin.

Nous sommes vite arrivés au grand hôpital. Mon père a demandé à voir un spécialiste d’urgence. De manière inattendue, après avoir visionné les résultats de la tomodensitométrie et réfléchi pendant un long moment, le premier spécialiste a déclaré : « Vous pouvez vous calmer. Votre tumeur n’a pas récidivé. » Puis mon père a fait une demande pour consulter un autre spécialiste. Il a examiné les résultats et a déclaré : « La tumeur a récidivé. Il faut vous faire hospitaliser le plus tôt possible. » Mon père était si inquiet qu’il transpirait et a demandé à voir plusieurs spécialistes l’un après l’autre. Lorsque nous sommes arrivés chez le cinquième expert, il a dit à mon père : « La tumeur de votre fille a récidivé et son état est très critique. Si elle n’est pas correctement soignée, son nez et ses yeux seront penchés et elle deviendra paraplégique. » Entendant les paroles du médecin, je suis restée assise là, les larmes aux yeux, ne sachant que faire. Je me suis dit : « Je suis si jeune. Si je suis vraiment paralysée et que ma bouche se penche et que mes yeux se déforment, à quoi sert-il de vivre ? » Je jetai un coup d’œil à mon père, pâle et stupéfait. Nous sommes restés un long moment silencieux. L’air semblait s’être figé. J’étais tellement sous le choc que je n’arrivais plus à respirer. Mon cœur palpitait de peur. Impuissante, j’ai prié Dieu : « Mon Dieu ! En entendant les mots du médecin, je ne vois aucun espoir. J’ai vraiment peur d’être paralysée. Mon Dieu, je ne sais pas ce que je devrais faire. Protège-moi et guide-moi je t’en supplie. » Après ma prière, je me suis un peu calmée et me suis souvenue des paroles de Dieu que j’avais lues par le passé, « Qui de l’humanité tout entière ne bénéficie pas d’une attention de la part du Tout-Puissant ? Qui ne vit pas sous la prédestination du Tout-Puissant ? La vie et la mort de l’homme adviennent-elles par son propre choix ? L’homme a-t-il le contrôle de son propre destin ? » (Extrait de « Chapitre 11 » des Paroles de Dieu à l’univers entier, dans La Parole apparaît dans la chair). « La foi est comme un pont à tronc d’arbre unique : ceux qui se cramponnent totalement à la vie auront du mal à la traverser, mais ceux qui sont prêts à se sacrifier pourront traverser d’un pas assuré et sans inquiétude. Si les hommes nourrissent des pensées timides et craintives, c’est parce que Satan les a dupés, craignant que nous traversions le pont de la foi pour entrer en Dieu. Satan essaye par tous les moyens possibles de nous communiquer ses pensées. Nous devons à tout moment prier pour que Dieu nous illumine de Sa lumière […]. » (« Chapitre 6 » de Déclarations de Christ au commencement, dans La Parole apparaît dans la chair). Comme une source d’eau, les paroles de Dieu ont afflué dans mon cœur, ce qui m’a immédiatement donné le courage de faire face à la maladie et a renforcé ma foi en Dieu. Oui, notre naissance et notre mort sont entre les mains de Dieu. Personne ne peut contrôler son propre destin. Dans le passé, repoussant Dieu dans le fond de mes pensées, je pensais pouvoir moi-même contrôler mon destin. Aujourd’hui, Dieu m’a mise à cette situation pour que j’expérimente Son œuvre, que je connaisse Sa souveraineté et que ma foi en Dieu se renforce. Mais dès j’essayais de m’approcher de Dieu et de compter sur Lui, le diable Satan, qui se fait un plaisir à corrompre l’homme, essayait de me mettre des bâtons dans les roues. Il m’a fait peur avec les mots du médecin et m’a rendu timide et peureuse pour perturber mes pensées, Alors que, quand je me suis mise à prier Dieu tout à l’heure, ma tête m’a d’un coup fait moins mal. Satan a vu que je commençais à avoir confiance en Dieu, alors il m’a dérangé et m’a attaqué. Si je n’avais pas été illuminée et guidée par la parole de Dieu, j’aurais été de nouveau prise dans le cercle vicieux de Satan. Maintenant, je sais que c’est seulement lorsque je me tiens fermement du côté de Dieu et que je compte sur Lui que je peux pénétrer la ruse de Satan. En pensant à cela, j’étais déterminée à me soumettre à l’orchestration de Dieu même si je devais pour cela y perdre ma vie. Je me suis sentie directement beaucoup mieux. Alors, j’ai réconforté mon père : « Papa, ne t’inquiète pas. J’ai attrapé un rhume il y a quelques jours et cela m’a peut-être causé la migraine. » En entendant ce que je venais de dire, mon père m’a regardé, ne sachant pas quoi répondre. Il a compris qu’il était inutile de rester à l’hôpital, alors il m’a emmené chez moi.

Le lendemain, mon père était toujours inquiet et m’a donc emmenée dans un autre grand hôpital pour y être examinée, mais le médecin ne trouva toujours pas la raison de mon mal de crâne. Une fois de plus, j’ai pu constater que la science et les connaissances sont impuissantes devant la maladie. Une fois arrivée à la maison, ma tête me fasse encore mal et je suis restée allongée dans mon lit faute de pouvoir bouger. Cela me donna l’occasion de lire les paroles de Dieu et de prier Dieu. En lisant de plus en plus les paroles de Dieu, ma foi en Dieu a augmenté. En même temps, j’ai compris, face à ce problème, que la volonté de Dieu était que je m’adresse plus souvent à Lui et que je me rapproche de Lui. Je devrais apprendre à Lui obéir et à me soumettre à Son orchestration. Peu importe ce que Dieu faisait, Son intention était de me sauver. Dieu s’attendait à ce que je puisse comprendre les choses selon Ses paroles et voir à pénétrer l’astuce de Satan, ainsi j’aurais une foi véritable en Lui, aspirant à la lumière et assoiffée de vérité. Alors j’ai prié Dieu : « Mon Dieu, ma vie et ma mort sont entre Tes mains. Je suis prête à me soumettre à Tes arrangements. » De plus, j’ai décidé aussi de ne plus croire en Dieu ni de participer à des réunions avec des frères et des sœurs avec l’attitude passive que j’avais avant.

Avec le temps, j’ai appris à oublier ma maladie. Bien que douloureuse encore, je suis devenue plus active dans les réunions et petit à petit, j’ai observé de plus en plus de merveilles de Dieu. À chaque réunion, lorsque je me plongeais dans les paroles de Dieu, mes maux de tête se calmaient. En chantant et en dansant avec des frères et des sœurs pour louer Dieu, j’ai goûté au soulagement et à la joie de vivre aux côtés de Dieu, et le sourire ne quittait plus mes lèvres. Après un certain temps, mes maux de tête ont disparu. Mon père était surpris que malgré le fait que je n’aille pas voir le médecin, j’allais de mieux en mieux. Je savais que cela était dû au fait que Dieu me protégeait. J’étais profondément reconnaissante envers Dieu.

De cette expérience, j’ai eu davantage confiance en Dieu et j’ai pu ressentir l’amour de Dieu pour moi. Quand je quittais Dieu et que je tombais dans le piège de Satan, Dieu ne m’abandonnait jamais. Il me protégeait et restait à mes côtés. Il a fait en sorte que la maladie me fasse me remettre en question et me permette de me rendre compte que j’empruntais le mauvais chemin. Il m’a guidée par Ses paroles et m’a aidée à pénétrer que le but pervers de Satan était de corrompre et de dévorer les gens. Sous la direction de Dieu, je savais que si nous ne nous adressions pas à Dieu et que nous ne vivions pas selon Ses paroles, nous serions sous le domaine de Satan. Même si nous pouvons alors profiter des plaisirs temporaires de la chair, mais nous en payons le prix fort : notre vie. Et ce que nous perdons, c’est la possibilité de chercher la vérité et d’être sauvés par Dieu.

Aujourd’hui, cinq ou six ans ont passé. Je n’ai aucune séquelle. Au contraire, je vis une vie saine. Je remercie sincèrement Dieu à chaque fois que j’entends que de personnes atteintes d’une tumeur au cerveau comme moi sont devenues handicapées de manière permanente après la chirurgie et que certaines sont même décédées des suites de la chirurgie. Ma maladie a pu guérir sans traitement, c’est un acte merveilleux de Dieu. Aujourd’hui, je suis en bonne santé et je suis comblée par Dieu. Je comprends de plus en plus la vérité dans les paroles de Dieu et je vis sous Sa protection. Dieu merci ! C’est Dieu qui me donne une nouvelle vie.

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