J’ai vu les actes merveilleux de Dieu quand j’ai reçu 2 fois l’avis médical critique
Le quatorzième jour du douzième mois lunaire en 2015, ma femme et moi faisions notre lessive par beau temps. Quand la nuit est tombée et que ma femme était sur le point de se reposer, elle transpirait tout à coup de partout et semblait mal à l’aise. Alors je l’avais emmenée rapidement dans une clinique privée à proximité. Après que le médecin lui ait fait un examen médical soigneux, son diagnostic était : « Votre femme souffre d’une maladie coronarienne aiguë. Je vais lui prescrire des médicaments et lui donner une injection, et voir si cela fonctionne. Si elle ne va pas mieux, il faut la transférer à l’hôpital à temps ». En entendant les paroles du docteur, je tremblais. J’avais pensé : « Ma femme est gravement malade. Beaucoup de gens sont morts peu de temps après avoir eu cette maladie. Est-ce que ma femme va aussi perdre la vie ? ». En pensant à cela, j’avais immédiatement accepté la suggestion du docteur.
Le lendemain après-midi, l’état de ma femme s’était empiré. Je l’avais immédiatement transféré à l’hôpital de la ville. Après le sauvetage d’urgence et le bilan de santé, on lui avait diagnostiqué une maladie coronarienne aiguë, c’est-à-dire un infarctus du myocarde. Le médecin m’avait fait sortir de la salle et m’avait dit : « Votre femme prend les meilleurs médicaments maintenant, mais cela ne la sauve que temporairement. Elle est gravement malade et pourrait mourir à tout moment. Vous devriez mieux vous préparer au pire à l'avance. » Entendre cela était trop inattendu. Alors j’avais versé des larmes avec la tête baissée. Soudainement, j’avais entendu des pleurs venant de la salle opposée. Il s’était avéré qu’un chef, dans la cinquantaine, venait de mourir d’un infarctus du myocarde, seulement deux jours après avoir été envoyé à l’hôpital, ce qui avait attristé sa famille. À ce moment-là, je paniquais de plus en plus. J’avais pensé : « Il est mort si tôt, même s’il avait de l’argent et du pouvoir. Nous ne sommes que des gens ordinaires. Cela signifie-t-il que ma femme est obligée de me quitter à tout moment ? » J’étais si triste que je m’étais plaint : « Nous avons cru en Dieu. Pourquoi cette maladie nous arrive-t-elle malgré cela ? » À ce moment-là, j’ai pensé au livre spirituel qui dit : « Tout, depuis l’environnement qui nous entoure jusqu’aux personnes, aux événements et aux objets, tout cela existe avec la permission de Son trône. Ne laisse en aucun cas des griefs survenir dans ton cœur, ou Dieu ne t’accordera pas Sa grâce. Quand la maladie frappe, c’est dû à l’amour de Dieu et, à coup sûr, Ses intentions bienveillantes sont derrière cela. Même si ton corps peut endurer quelque souffrance, ne cultive aucune idée de Satan. Loue Dieu au milieu de la maladie et apprécie Dieu au milieu de ta louange. Ne te décourage pas face à la maladie, continue à chercher encore et encore, ne perds jamais espoir, et Dieu t’illuminera de Sa lumière. À quoi ressemblait la foi de Job ? Dieu Tout-Puissant est un médecin tout-puissant ! Demeurer dans la maladie, c’est être malade, mais demeurer dans l’esprit, c’est être bien. Tant qu’il te restera un dernier souffle, Dieu ne te laissera pas mourir. » Les paroles de vérité m’avaient immédiatement réveillé. Oui ! Tout ce qui s’est passé a été autorisé par Dieu et Il voulait que nous cherchions Sa volonté quand nous étions dans la maladie. Nous ne devrions pas perdre courage ou être en colère, ni nous plaindre de Dieu. Mais j’avais perdu courage et m’était plaint quand j’avais appris que ma femme était gravement malade et lorsque j'avais vu que l’homme avec de l’argent et un statut était mort de cette maladie. Où était ma foi en Dieu ? Il doit y avoir les bonnes intentions de Dieu derrière cette maladie. Même si je n’avais pas compris, je ne devais plus me plaindre. Alors j’avais prié Dieu dans mon cœur : « Dieu, ma femme est gravement malade, mais il doit y avoir Tes bonnes intentions derrière cela. Tu es tout-puissant. Je crois que sa maladie est entre Tes mains. S’il Te plaît, donne-nous la vraie foi et fait-nous comprendre Ta volonté dans cette maladie. Je suis prêt à Te confier la vie de ma femme ». Après avoir prié, j’avais un peu de confiance et de pouvoir. Je croyais que tant que nous nous reposions vraiment sur Dieu, Il ne laisserait pas ma femme mourir, même si elle n’avait plus qu’un souffle. Puis j’avais dit à ma femme : « Ne t’inquiète pas. Tu iras mieux. Nous croyons en Dieu, alors nous devons avoir foi en Lui ! ». Ma femme hocha la tête et dit : « Je sais. J’ai prié Dieu depuis que j’étais malade : « Dieu, Tu me donnes ma vie. C’est Ta Justice, même si Tu la reprends maintenant. S’il Te plaît, protèges mon cœur pour que je ne me plaigne pas. S’il Te plaît, donne-moi la foi... ».
Le lendemain matin, après les visites de service, le médecin m’avait appelé dans son bureau. Il avait sorti un avis médical critique et m’avait demandé de le signer. Il disait : « Selon notre expérience clinique, votre femme est gravement malade et pourrait mourir à tout moment ! Vous feriez mieux d’informer votre famille, vos proches et vos amis de son état le plus tôt possible afin qu’ils puissent la voir pour la dernière fois ». J’avais signé avec inquiétude et je pensais : « Le médecin a conclu à plusieurs reprises que ma femme était dans un état critique. Est-il vrai qu’elle est en train de mourir ? » Je priais silencieusement Dieu dans mon cœur : « Dieu, le docteur a dit que ma femme pourrait mourir à tout instant. Je suis vraiment faible maintenant. Je sais que je suis dans des épreuves qui exigent ma foi pour les surmonter. Je suis prêt à obéir à Ta souveraineté et à Tes arrangements. Guide-moi s’il Te plaît. Amen ! » La prière m’avait calmé un peu, et je me suis souvenu qu’il est dit dans le livre : « La foi des hommes est requise quand quelque chose ne peut pas être vu à l’œil nu, et ta foi est requise quand tu ne peux pas renoncer à tes propres notions. Lorsque l’œuvre de Dieu n’est pas claire pour toi, ce qui est requis, c’est que tu aies la foi […]. Les gens ont besoin de la foi en temps de difficultés et d’épurement, et l’épurement vient avec la foi. La foi et l’épurement ne peuvent être dissociés. » À partir de ce que dit la vérité, je savais que nous devions avoir foi en Dieu avant que nous puissions comprendre Sa volonté. Je m’étais souvenu que je semblais avoir foi en Dieu quand tout allait bien, mais quand les choses qui n’étaient pas conformes à mes idées s'étaient produit, j’avais perdu courage et je m’étais énervé. Je n’avais pas la vraie foi ! Puis j’ai pris ma décision : « Cette fois, peu importe la difficulté ou l’épurement, je ne perdrai pas foi en Dieu, même si j’ai reçu l’avis du médecin sur l’état critique de ma femme. Je sais que Dieu observe chacun de mes faits et gestes. Il teste ma foi en Lui. » Après avoir compris la volonté de Dieu à partir de Ses paroles, j’ai échangé au sujet des paroles de Dieu avec ma femme. Nous avons promis à Dieu que quoi qu’il arrive, nous ne nous plaindrions pas mais resterions avec Lui et nous nous tiendrions fermement pour témoigner pour Lui.
Alors nous avons calmés nos cœurs devant Dieu et nous avons davantage compté sur Lui. Durant les quelques jours qui ont suivi, bien que ma femme était au lit et attachée aux appareils médicales, elle n’avait pas trop ressenti de douleur. Un autre patient dans la salle avait dit à ma femme avec étonnement : « Je souffre beaucoup, mais pourquoi semble-t-il que vous ne ressentez aucune douleur ? » Nous avons remercié Dieu dans notre cœur pour Sa protection. Nous savions qu’Il était avec nous. Sept jours plus tard, le docteur lui avait détaché les machines. Voyant qu’elle pouvait marcher et manger, le docteur dit avec surprise : « C’est incroyable ! Votre femme s’en remet si bien. C’est merveilleux ! » Je continuais à remercier Dieu dans mon cœur. Parce que je savais ceci : les médecins peuvent guérir les gens mais ne peuvent pas sauver leur vie. Tout est déterminé par Dieu. C’est l’action merveilleuse de Dieu.
Quelques jours plus tard, vint le vingt-sixième jour du douzième mois du calendrier chinois. L’hôpital avait invité un expert pour effectuer l'opération pour 6 patients dans un état grave, et ma femme était la dernière sur la liste. L’hôpital avait émis un avis médical critique au sujet de ma femme, et on m’avait demandé de signer un contrat avant la chirurgie. Avant que ma femme entre dans la salle d’opération, nous avions tous les deux prié Dieu. J’avais prié : « Oh, mon Dieu, Tu dis : “La foi des hommes est requise quand quelque chose ne peut pas être vu à l’œil nu.” L’opération de ma femme est entre Tes mains. Dieu, nous sommes disposés à obéir à Tes arrangements, peu importe ce que Tu fais ! ». Après avoir prié, nous étions à l’aise. Plus d’une heure s’était écoulée. Puis ma femme avait été mise hors de la salle d’opération. Le médecin m’a dit : « Désolé, nous ne pouvons pas effectuer cette opération. Une artère de son cœur est bouchée par des caillots sanguins, de sorte qu’elle n’a pas pu être traitée par l’insertion d’une endoprothèse vasculaire ». Après avoir entendu ces mots, je m’étais demandé pourquoi les cinq patients avant ma femme pouvaient subir avec succès cette opération cardiaque, mais pas ma femme. À ce moment-là, ce livre de vérité dit : « Lorsque tu es confronté à des problèmes de la vie réelle, comment devrais-tu connaître et comprendre l’autorité de Dieu et Sa souveraineté ? Lorsque tu te trouves devant ces problèmes et que tu ne sais pas comment les comprendre, les gérer et en faire l’expérience, quelle attitude devrais-tu adopter pour manifester ton intention de te soumettre, ton désir de te soumettre et la réalité de ta soumission à la souveraineté et aux arrangements de Dieu ? D’abord, tu dois apprendre à attendre ; ensuite, tu dois apprendre à chercher ; puis tu dois apprendre à te soumettre. “Attendre” signifie attendre le temps de Dieu, attendre les personnes, les événements et les choses qu’Il a arrangés pour toi, attendre que Sa volonté te soit peu à peu révélée. “Chercher” signifie observer et comprendre les intentions prévenantes de Dieu pour toi à travers les gens, les événements et les choses qu’Il a établis, comprendre la vérité à travers tout cela, comprendre ce que les humains doivent accomplir et les voies auxquelles ils doivent adhérer, comprendre quels résultats Dieu cherche à accomplir parmi les humains et quelles réalisations Il cherche à atteindre en eux. “Se soumettre”, bien sûr, fait référence au fait d’accepter les gens, les événements et les choses que Dieu a orchestrés, d’accepter Sa souveraineté et, à travers elle, parvenir à savoir comment le Créateur dicte le destin de l’homme, comment Il alimente l’homme de Sa vie, comment Il façonne la vérité à l’intérieur de l’homme. » De telles paroles de vérité nous montrent le chemin de la pratique : Nous devrions apprendre à attendre, à chercher et à saisir la volonté de Dieu et à nous soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements quand nous faisons face à des problèmes et ne savons pas quoi faire. En repensant à ce qui s’était passé ces derniers jours, j’avais vu que Dieu veillait sur nous et nous protégeait depuis que ma femme était tombée malade. Bien que ma femme ne pouvait pas subir cette opération à ce moment-là et que je n’avais pas compris la volonté de Dieu, j’avais cru que tout est sous la domination de Dieu. Nous nous sommes juste soumit à Ses arrangements et orchestrations. Ensuite, je m’étais calmé et j’avais attendu paisiblement avec ma femme.
Bientôt, arriva le vingt-neuvième jour du douzième mois du calendrier chinois. Le médecin m’avait dit : « Vous pouvez ramener votre femme à la maison pour célébrer la fête du printemps. Je vais lui prescrire des médicaments pour 15 jours. Revenez pour l’opération du cœur, après le Festival des Lanternes. » Nous sommes revenus à l’hôpital le dix-huitième jour du premier mois du calendrier chinois. Après un examen complet, le médecin m’avait dit avec surprise : « C’est incroyable ! Votre femme était mourante, mais maintenant elle se rétablit rapidement. C’est une chose si rare. Le résultat montre qu’elle n’a pas besoin de cette opération. » Nous étions tellement heureux d’entendre cette nouvelle et continuions remercier Dieu !
Pendant les 13 jours passés à l’hôpital, j’avais reçu l’avis médical critique 2 fois, déclarant que ma femme était en danger et pouvait mourir à tout moment. Parce que j’avais peu de foi en Dieu, je croyais ce que le docteur disait. Surtout quand j’avais su que le fonctionnaire du gouvernement avec sa fortune et son statut qui avait la même maladie que ma femme, était décédée en seulement 2 jours, je n’avais pas de place pour Dieu dans mon cœur et j’avais commencé à me plaindre. Cependant, Dieu ne m’avait pas traité selon mes transgressions. Sachant que ça ne faisait pas très longtemps que j’avais cru en Dieu, Il avait toujours utilisé Ses paroles pour m’éclairer et me guider pour que je comprendre Sa volonté et me soumette à Sa souveraineté et à Son autorité. De plus, quand j’avais vraiment foi en Dieu et que je comptais sur Lui, ma femme non seulement s’était bien rétablie, mais elle n’avait pas eu besoin de subir une opération cardiaque. De cela, j’avais vu combien nous sommes petits et impuissants face aux maladies. L’argent et le statut ne peuvent jamais sauver nos vies. C’est seulement Dieu qui peut nous sauver. À partir de maintenant, je ne suis que disposé à mettre tout en œuvre dans l’accomplissement de mon devoir pour rembourser Dieu pour Son amour. Toute gloire soit à Dieu !