Maintenant, Je regarde ta chair indulgente qui M'enjôlerait et Je n'ai qu'un petit avertissement pour toi, bien que Je n'utilise pas le châtiment pour te « servir ». Tu dois savoir quel rôle tu joues dans Mon œuvre, et Je serai alors satisfait. Outre cette question, si tu Me résistes, dépenses Mon argent, consommes Mes sacrifices, ceux de l'Éternel, ou si vous, vermisseaux, vous vous mordez, ou si vous, créatures à l'image des chiens, êtes en conflit ou vous violez les uns les autres, tout cela ne Me préoccupe pas. Vous avez seulement besoin de savoir quelle sorte de choses vous êtes et Je serai satisfait. Mis à part tout cela, peu importe que vous souhaitiez dégainer vos armes les uns contre les autres ou vous battre entre vous à coups de paroles ; Je n'ai aucun désir de Me mêler de telles choses et je ne suis pas le moins du monde engagé dans les affaires humaines. Ce n'est pas que les conflits entre vous ne Me préoccupent pas, c'est que Je ne suis pas l'un de vous et, par conséquent, ne participe pas aux problèmes qui vous concernent. Je ne suis pas un être créé et ne suis pas du monde, alors Je déteste la vie animée des gens et leurs relations compliquées et inappropriées. Je déteste particulièrement les foules vociférantes. Cependant, J'ai une connaissance profonde des impuretés dans le cœur de chaque être créé et, avant que Je vous crée, J'étais déjà au courant de l'injustice profondément ancrée dans le cœur humain et connaissais toute la tromperie et la malhonnêteté qui s'y trouvent. Par conséquent, même si les gens ne laissent pas la moindre trace quand ils font des choses injustes, Je sais quand même que l'injustice contenue dans votre cœur dépasse la richesse de toutes les choses que J'ai créées. Chacun d'entre vous s'est élevé au faîte des multitudes ; vous vous êtes élevés pour devenir les ancêtres des masses. Vous êtes extrêmement arbitraires et hors de contrôle au milieu de tous les vermisseaux, cherchant un endroit tranquille et tentant de dévorer les plus petits que vous. Vous êtes malveillants et sinistres dans votre cœur, plus même que les fantômes qui ont sombré au fond de la mer. Vous résidez au fond du fumier, dérangeant les vermisseaux, de la base au sommet, jusqu'à ce que le trouble soit semé et qu'ils se disputent un certain temps, puis se calment. Vous ne connaissez pas votre place, mais vous vous battez quand même les uns contre les autres dans le fumier. Que peut vous apporter une telle lutte ? Si vous Me révériez vraiment dans votre cœur, comment pourriez-vous vous battre entre vous derrière Mon dos ? Peu importe ton statut, ne restes-tu pas un vermisseau puant dans du fumier ? Pourras-tu te faire pousser des ailes et devenir une colombe volant dans le ciel ? Vermisseaux puants, vous volez des offrandes de Mon autel, l'autel de l'Éternel. En agissant ainsi, pouvez-vous sauver votre réputation calamiteuse et exécrable, et devenir le peuple élu d'Israël ? Vous êtes des misérables sans vergogne ! Ces sacrifices sur l'autel M'ont été offerts par les gens afin d'exprimer les « sentiments bienveillants » de ceux qui Me révèrent. C'est à Moi de les contrôler et de les utiliser, alors comment peux-tu oser Me voler les petites colombes que les gens M'ont offertes ? N'as-tu pas peur de devenir un Judas ? Ne crains-tu pas que ta terre devienne un champ de sang ? Tu n'as aucune honte ! Crois-tu que les colombes offertes par les gens sont censées nourrir ton ventre de vermisseau ? Ce que Je t'ai donné, c'est ce que Je suis content et désireux de te donner ; ce que Je ne t'ai pas donné est à Ma disposition. Tu ne peux pas voler Mes offrandes comme bon te semble. Celui qui œuvre, c'est Moi, l'Éternel, le Seigneur de la création, et les gens offrent des sacrifices pour Moi. Penses-tu que ce sont des récompenses parce que tu cours partout ? Tu es vraiment sans vergogne ! Pour qui cours-tu partout ? N'est-ce pas pour toi-même ? Pourquoi voles-tu Mes sacrifices ? Pourquoi voles-tu de l'argent de Ma bourse ? N'es-tu pas le fils de Judas Iscariote ? Ce sont les sacrificateurs qui doivent jouir des sacrifices qui Me sont destinés, à Moi, l'Éternel. En es-tu un ? Tu oses consommer Mes sacrifices avec arrogance et même les déposer sur la table. Tu es un vaurien ! Misérable sans valeur ! Mon feu, celui de l'Éternel, te réduira en cendres !
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Quand les feuilles mortes retourneront aux racines, tu regretteras tout le mal que tu as fait